Un chant que nombre d’appelés du contingent ont massacré pendant l’école de marche à pied.
Le texte se trouve dans un recueil « Le glaneur lyrique » de 1852 qu’on peut trouver sur Gallica.fr. La mélodie est transcrite d’après celle qu’on entend dans nombre de fêtes bachiques de Bourgogne.
La variante entre parenthèse correspond aux paroles du chant de marche militaire.